Quatrième de Couverture :
Karina est serveuse dans un bar de New York. Elle tombe sous le charme de James, un client mystérieux et dominateur.
Ce qui commence comme un jeu érotique évolue bientôt en un jeu de pouvoir où James révèle le côté sauvage de Karina et brouille la ligne entre le plaisir et la souffrance.
Et c'est Karina qui réclame toujours plus, dépassant ses propres limites, pour prouver la force de son amour à l'homme à qui elle s'offre.
Note :
♣♣♣♣♣
Avis :
J'ai mis pas mal de temps à me plonger dans la saga, mais une fois fait j'ai décidé de lire les trois tomes à la suite. Du coup, mon avis sur la série est un peu différent de ce qu'il aurait pu être si j'avais espacé les lectures. En effet, en revenant sur chaque tome j'ai la vision d'ensemble dans la tête, et les constructions sur plusieurs tomes de l'auteur me sont facilement visible, mais allons y gaiement !
Karina est thésarde en histoire de l'art, et de temps en temps elle revient donner un coup de main dans le bar de sa soeur. Célibataire, plus concentrée sur ses études qu'autre chose, sa plus grande action folle aura été de prendre une coloc : une fille encore plus timide qu'elle et fan d'un chanteur pop.
Mais ce soir là, Karina va rencontrer un inconnu troublant. Séduisant, mystérieux, les étincelles ne tardent pas à crépiter entre eux. Ils se lancent alors dans un jeu sensuel, sexuel, qui les dépassera tous les deux.
Lui se fait appeler James et refuse de parler de lui, de se dévoiler. Elle se laisse complètement mettre à nu - au sens propre et au sens figuré. Au rythme de leurs fantasmes et de leurs expériences naitra pourtant une certaine complicité. Elle lui dévoilera ses espoirs et ses craintes, ses désillusions et ses hypothèses, lui sera de moins en moins sur la défensive ; il lui parlera d'une société secrète où les riches et les puissant assouvissent leurs fantasmes (cela ne vous rappelle pas La Société ? Moi beaucoup, en particulier le tome 1 où le lecteur comme l'héroïne découvre la Société et ses règles).
Pourtant, Karina ne se satisfait pas entièrement de ce jeu où elle ignore trop de chose de son amant. Elle découvre des sentiments puissants pour cet inconnu et pense que son amour suffira à aplanir toutes les difficultés. Mais après avoir obtenu ce qu'elle voulait, elle devra en payer le prix.
Endless Love m'a fait pensé à La Société et à Fifty Shades. Il y a ce côté soumission totale à l'autre, avec un passé inconnu (ou trouble) et un des membres du couple qui en plus de dominer l'autre se refuse à s'ouvrir. Pourtant jamais Karina ne passe pour faible. Bien sur, le fait de se soumettre ainsi à un inconnu dans une limousine peut la faire passer pour une folle (elle n'en parle pas à personne et...on sait que les rues de New-York ne sont pas sures), pourtant elle dégage une impression de solidité.
J'ai également retrouvé un peu de 80 notes dans cette histoire (même si je n'ai lu que le tome 1 de cette série-ci).
Au final, ce premier tome n'est pas désagréable, mais il n'innove pas vraiment dans un pan de la littérature, érotique, qui fait plutôt polémique.
A réserver plutôt aux amateurs du genre : les scènes érotiques sont nombreuses, vous n'adhérerez pas forcément à tous leurs jeux, mais ce n'est pas trop choquant.
Karina est thésarde en histoire de l'art, et de temps en temps elle revient donner un coup de main dans le bar de sa soeur. Célibataire, plus concentrée sur ses études qu'autre chose, sa plus grande action folle aura été de prendre une coloc : une fille encore plus timide qu'elle et fan d'un chanteur pop.
Mais ce soir là, Karina va rencontrer un inconnu troublant. Séduisant, mystérieux, les étincelles ne tardent pas à crépiter entre eux. Ils se lancent alors dans un jeu sensuel, sexuel, qui les dépassera tous les deux.
Lui se fait appeler James et refuse de parler de lui, de se dévoiler. Elle se laisse complètement mettre à nu - au sens propre et au sens figuré. Au rythme de leurs fantasmes et de leurs expériences naitra pourtant une certaine complicité. Elle lui dévoilera ses espoirs et ses craintes, ses désillusions et ses hypothèses, lui sera de moins en moins sur la défensive ; il lui parlera d'une société secrète où les riches et les puissant assouvissent leurs fantasmes (cela ne vous rappelle pas La Société ? Moi beaucoup, en particulier le tome 1 où le lecteur comme l'héroïne découvre la Société et ses règles).
Pourtant, Karina ne se satisfait pas entièrement de ce jeu où elle ignore trop de chose de son amant. Elle découvre des sentiments puissants pour cet inconnu et pense que son amour suffira à aplanir toutes les difficultés. Mais après avoir obtenu ce qu'elle voulait, elle devra en payer le prix.
Endless Love m'a fait pensé à La Société et à Fifty Shades. Il y a ce côté soumission totale à l'autre, avec un passé inconnu (ou trouble) et un des membres du couple qui en plus de dominer l'autre se refuse à s'ouvrir. Pourtant jamais Karina ne passe pour faible. Bien sur, le fait de se soumettre ainsi à un inconnu dans une limousine peut la faire passer pour une folle (elle n'en parle pas à personne et...on sait que les rues de New-York ne sont pas sures), pourtant elle dégage une impression de solidité.
J'ai également retrouvé un peu de 80 notes dans cette histoire (même si je n'ai lu que le tome 1 de cette série-ci).
Au final, ce premier tome n'est pas désagréable, mais il n'innove pas vraiment dans un pan de la littérature, érotique, qui fait plutôt polémique.
A réserver plutôt aux amateurs du genre : les scènes érotiques sont nombreuses, vous n'adhérerez pas forcément à tous leurs jeux, mais ce n'est pas trop choquant.
Infos :
- Endless Love (Slow Surrender)
- Endless Love #1 (Struck by Lightning #1)
- Cecilia Tan
- Hugo Roman - Blanche (janvier 2015)
- 360 pages
- 17 € (papier) - 12.99 € (numérique)
- Fiche
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Autres Tomes :
- Endless Love
- Endless Seduction
- Endless Satisfaction
Autres Avis :
Autres Couvertures :
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