Quatrième de Couverture :
Vendredi 4 décembre au matin. Le FBI est déjà sur les dents. Ils sont à peine une poignée, vétérans de la guerre du Vietnam rassemblés en un groupe nommé Green Band, et pourtant ils font trembler les Etats-Unis.
Leur leader, le colonel David Hudson, réclame pour ses pairs un traitement compensatoire et, surtout, la reconnaissance de leurs sacrifices consentis durant le conflit par le gouvernement.
Si ces revendications ne sont pas entendues, Wall Street, symbole de la toute-puissance financière américaine, sera rayé de la carte.
Walter Trentkamp, le chef du FBI, ne peut seul faire face a l'imminence de la menace. Il contacte Arch Carroll, spécialiste mondial en la matière. Épaulé par Caitlin Dillon, une avocate pleine de ressources, il entame une course contre la montre: les bombes doivent exploser l’après-midi même, à 17 h 05.
Note :
♣♣♣♣♣
Avis :
Un point intéressant à signaler : ce livre a été publié à la fin des années 80... ce qui en fait l'un des plus vieux romans de l'auteur publié. Pourtant on ne le réalise pas vraiment ! En effet, excepté une référence au WTC à un moment, il n'y a pas de décalage technologique et, surtout, l'histoire pourrait être valable de nos jours (en changeant de conflit peut-être).
L'idée est intéressante, avec la menace armée et financière, un héros torturé épaulée par une jeune femme aussi brillante que jolie - bref, la formule très classique de l'auteur.
Mais en fait c'est lent, c'est très très lent, c'est trop lent. Les chose "explosent" (ha ha) au début et s'accélèrent à la fin, mais entre les deux il ne se passe pas grand chose.
Arch enquête mais rien ne se passe vraiment. Par moment il fait des avancées... mais on ne sait pas comment ! Il a une illumination disons.
Les relations entre les personnages auraient pu être plus approfondies et aurait donné un peu de consistance à l'ensemble. Là c'est vraiment mou au milieu et on s'ennuie presque.
L'explication finale est un peu embrouillée et franchement, j'ai l'impression que l'auteur triche un peu. Pourtant, cela révèle de très bonnes idées.
Je crois que l'auteur pourrait tout à fait reprendre son idée et en faire un roman plus moderne, plus "facile" à adopter par le lecteur. Il a de l'expérience maintenant et il saurait mieux équilibrer les différents éléments de son histoire.
Au final c'est intéressant, mais avec un peu trop de points faibles pour être un incontournable. C'est un livre à recommander en priorité aux grands fans de l'auteur et aux accros aux romans d'intrigue financière.
L'idée est intéressante, avec la menace armée et financière, un héros torturé épaulée par une jeune femme aussi brillante que jolie - bref, la formule très classique de l'auteur.
Mais en fait c'est lent, c'est très très lent, c'est trop lent. Les chose "explosent" (ha ha) au début et s'accélèrent à la fin, mais entre les deux il ne se passe pas grand chose.
Arch enquête mais rien ne se passe vraiment. Par moment il fait des avancées... mais on ne sait pas comment ! Il a une illumination disons.
Les relations entre les personnages auraient pu être plus approfondies et aurait donné un peu de consistance à l'ensemble. Là c'est vraiment mou au milieu et on s'ennuie presque.
L'explication finale est un peu embrouillée et franchement, j'ai l'impression que l'auteur triche un peu. Pourtant, cela révèle de très bonnes idées.
Je crois que l'auteur pourrait tout à fait reprendre son idée et en faire un roman plus moderne, plus "facile" à adopter par le lecteur. Il a de l'expérience maintenant et il saurait mieux équilibrer les différents éléments de son histoire.
Au final c'est intéressant, mais avec un peu trop de points faibles pour être un incontournable. C'est un livre à recommander en priorité aux grands fans de l'auteur et aux accros aux romans d'intrigue financière.
Infos :
- Black Friday (Black Market)
- James Patterson
- Archipoche (février 2017 - réédition)
- 480 pages
- 7.80 € (poche) - 6.99 € (numérique)
- Fiche
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Autres Couvertures :
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